Make The Girl Dance revient vous chatouiller les oreilles !

 

Les deux acolytes de Make The Girl Dance, Greg Kozo et Pierre Mathieu ( ancien animateur télé sur M6, France 2 et Canal + ), reviennent avec un second album intitulé Extraball, 4 ans après leur premier LP Everything Is Gonna Be Ok In The End.

 

Cet opus est bourré de collaborations prestigieuses, intéressantes et même inattendues, on retrouve aux côtés des deux trublions du son : Ornette, Yard Of Blondes, Joey Starr, Gavin Turek, Solange La Frange et Yo ! Majesty.

 

L’album a été annoncé par la single Yé Yé ( Ohh La La ) que Make The Girl Dance partage avec la chanteuse Ornette, un bon mix entre sonorités électroniques et sonorités retro.

 

Extraball peut paraître expérimental voir minimaliste sur certains morceaux notamment sur les 2 titres où apparaît Joey Starr intitulés Mad Clap et Voodoo, mais Extraball renferme également des titres plus commerciaux taillés pour les discothèques comme par exemple Dancing In Nowhere ( le gros coup de cœur de cet album ), Candystore ou le très hypnotique Girlz Part.2 qui rappelle un peu le French Kiss de Lil Louis à la fin des années 80 !

 

En résumé, Extraball est un bon retour pour le duo, un album à découvrir !

 

Découvrez le son dance de Baltic System !

 

Le label Future Play va vous faire danser tout l’été !

 

Do you wanna dance ? Do you wanna move?

 

Un piano entêtant rappelant les meilleurs titres House des années 90 comme par exemple le mythique I Luv U Baby de The Original en 1995, un beat Electro 100% cru 2015, on mixe tout cela dans un shaker, on secoue et on obtient la bombe Move It de Baltic System!

 

Baltic System, c’est la sensation club du moment, on ne peut que succomber, la vraie Dance Music est de retour et elle se porte comme un charme !

Notre invité sur Influence: Jessy T.: Une bonne nouvelle se trouve dans son interview!

 

C’est avec plaisir que je retrouve Jessy T. pour une interview exclusive avec une excellente nouvelle (cherchez bien vous qui aimez cet artiste, vous serez ravi).

 

Influence adore ces moments partagés avec un artiste qui est généreux, humble et bosseur. Sa réussite est une juste récompense pour tout le travail effectué.

 

Bonjour Jessy…
Bonjour !

 

Depuis notre dernière interview, que deviens-tu?
Il me semble que c’était pour la promotion du dernier spectacle de ma compagnie, début 2014.
Depuis ce grand événement, j’ai fais quelques scènes, un show Best of des deux premiers G-NesiS dans un stade et une tournée de 5 spectacles en décembre 2014 avec une partie de ma compagnie, et puis j’ai eu la chance de travailler au cabaret la Garçonnière à Genève durant tout le mois de février.
J’y retourne d’ailleurs en Juillet puis en octobre 2015.

 

Le succès du spectacle G-NesiS 1.4, doit te faire plaisir, pour un tel spectacle c’est combien d’heures de préparation voire de jours, de mois avant la grande date?
Oui cela fait toujours plaisir quand un projet comme celui ci abouti et qu’il plait au public !
En terme de temps j’ai commencé à écrire ce spectacle juste après le premier c’est à dire en avril/mai 2013.
J’ai ensuite auditionné les danseurs en septembre 2013 puis les premières répétitions ont débuté en octobre, et ce pendant 7 mois au rythme de minimum 6 heures de danse par semaine.
En plus de ces heures s’ajoutaient la création des costumes, des décors, les mises en scène des tableaux, le travail des maquillages et des projections vidéos diffusées sur les deux écrans géants pendant le show, c’était … Intense !

 

Se glisser dans la peau de certains personnages est-ce facile?
Je pense qu’on ne peux pas se glisser dans la peau de n’importe qui, enfin en ce qui me concerne.
Je ne parle pas de maquillage, car si on maitrise on peut se faire la tête de tout le monde ou presque… Mais il n’y a pas que la ressemblance, il y a le jeu d’acteur qui est primordial pour entrer dans la peau d’un personnage.
Ce sont des heures et des heures de visionnage de passages Tv, lives en tout genre afin de capter le petit détail qui fera que l’imitation visuelle sera bluffante aux yeux des spectateurs.

 

Quels sont les artistes les plus faciles pour toi à adopter les gestes, la façon de bouger, et les pires?
Je n’ai jamais vraiment eu de mal à adopter la gestuelle de mes personnages en réalité,
étant déjà à la base admirateur de leur travail, cela venait naturellement, même pour Stromae par exemple.
Cependant ce qui est le plus difficile c’est d’apprendre à danser comme un artiste, je ne parle pas des pas de danse à apprendre mais la façon de les faire.
Prenez la même chorégraphie et faites la faire à Stromae et à Madonna, vous aurez deux résultats différents.

 

Comment imagines-tu un spectacle tel que le G-NesiS 1.4?
Ce concept je l’ai imaginé comme un grand concert à l’américaine à la base.
Loin des plumes et des paillettes des cabarets, je voulais un show moderne, à l’image de mes idoles.
Un spectacle qui mélange artistes, danseurs, écrans géants et lumières.
A partir de cela, ce sont des inspirations qui vont se mélanger pour former une idée pour un tableau, un costume, un habillage de lumières ou une projection vidéo.

 

Après ce show, tu as laissé entendre qu’il s’agissait du dernier, pourquoi? tu étais fatigué, envie d’autres défis?
Oui j’étais fatigué comme les 60 personnes qui ont participé à ce projet (rires).
J’ai dit qu’il n’y en aurait pas en 2015, car pour des raisons internes à la compagnie et personnelles ça n’était pas possible.
Je pense aussi qu’après une telle aventure il faut savoir se poser et laisser refroidir son cerveau afin de ne pas partir dans tous les sens et entrer dans un engrenage qui fera que l’on présentera un spectacle tous les ans sans savoir pourquoi, sans nouvelles idées ou inspirations.
Je ne souhaite pas que le public de la compagnie se lasse, et je n’ai pas envie de me lasser non plus.
Ce sont des moments qui se doivent être uniques, rares, aussi bien pour nous artistes que pour le public.

 

Quand tu ne te glisses pas dans les habits des autres, qu’aimes-tu faire?
Lorsque je ne me glisse pas dans les habits des autres je suis dans les miens et j’y suis bien 🙂
Je ne suis absolument pas quelqu’un de fêtard, je ne sors jamais mise à part quand je travaille, contrairement à ce que le métier de transformiste peut évoquer chez certains.
J’aime profiter de la vie en toute simplicité avec celui et ceux que j’aime, et avec ma petite Lily.

 

As-tu déjà eu des échos des personnalités que tu représentes sur scène?
Des personnalités non, mais de leur entourage proche oui, c’était plutôt positif, j’étais content…

 

As-tu des regrets?
Non aucun.
Je pense qu’il ne faut pas vivre avec des regrets, il faut assumer ses actes et ses réalisations.
Si par mégarde ça se passait mal, il faut toujours en tirer le positif afin d’évoluer et de faire mieux.
C’est ma philosophie en tout cas.

 

Je crois que tu as une grande nouvelle à annoncer aux lecteurs d’Influence et à tous ceux qui te suivent?
Oui ! 
Lorsque j’ai imaginé G-NesiS 1.3, le premier show de Jessy Transformiste & Co, je pensais à une trilogie, deux actes ont été présentés, il fallait clore le chapitre et boucler la boucle.
L’écriture de l’acte final, G-NesiS 1.6 à commencé il y a quelques mois …

 

Donc rendez-vous le?

Rendez vous en 2016 à Besançon , la date et le lieu seront annoncés le 11 juin 2015 sur la page de la troupe.

Jessy Transformiste & Co

 

Peux-tu nous parler de ce nouveau show?
Pour l’instant il est sur papier, il évolue au fil des jours…
Il sera à la hauteur des deux premiers, et j’espère qu’il enchantera les spectateurs autant que 1.3 et 1.4.
Plus intime ou plus spectaculaire je ne sais pas … En deux parties oui, c’est sur.

 

Influence sera évidemment avec toi et nous pourrons prévoir une interview sur ce spectacle?
Avec toujours autant de plaisir !

 

Le petit mot de la fin…
Tout d’abord merci à vous de me suivre depuis que j’ai créé cette troupe !
Je ne remercierai jamais assez le public, sans qui il n’y aurait pas eu ces deux premiers spectacles à Besançon, une fidélité hors du commun…et rien que pour cela, je me devais de présenter cet acte final.
Je souhaite également dire à ceux qui ont un rêve d’aller de l’avant et de tout faire pour y parvenir, tout est réalisable si on s’en donne les moyens.
Certes il y aura toujours des personnes jalouses et mal intentionnées, mais il faut en faire abstraction, faire comme si elles n’existaient pas, c’est ce que j’ai toujours fais depuis 15 années que je fais ce métier, et c’est peut être cela qui fait la différence, rester soi-même, vrai et humble.
Merci à vous et à très bientôt …

Merci Jessy

 

 

 

Le groupe Urban Cone dévoile son album Polaroid Memories.

 

Dynamisme, voilà un mot qui pourrait résumer cet opus, les fans de MGMT, de Phoenix ou de Of Monster And Men pourraient se réjouir à l’écoute de Polaroid Memories en attendant la sortie des nouveaux projets des 3 groupes précédemment cités car Urban Cone est un bon mélange des 3.

 

Le groupe Suédois propose une Pop jeune et moderne teintée de flash-back 80’s.

 

Les 11 titres composants ce second album sont autant de polaroids que l’on pourrait associer à un souvenir.

 

Urban Cone est composé de 5 amis de lycée, Rasmus Flyckt, Magnus Folko, Tim Formgren, Emil Gustafsson et Jacob William Sjoberg.

 

Le premier album du groupe ( Our Youth, sorti en 2013 ) est paru en Suède mais aussi aux USA et le groupe a collaboré avec Porter Robinson et John Dahlback.

 

Avec ce second opus intitulé Polaroid Memories, le groupe Urban Cone s’apprête à secouer la planète Pop et à conquérir de nombreux nouveaux pays avec cet album Pop, frais et enjoué.

 

Robot Love, dans un premier temps, puis Come Back To Me au featuring de Tove Lo ont été dévoilés afin de promouvoir ce deuxième pas discographique.

 

L’été se profilant, Polaroid Memories serait l’album idéal à écouter au bord d’une piscine, le sourire aux lèvres.

 

La Suède fait fort, une fois de plus, très fort !

Attention, Bob Sinclar est de retour !

 

L’un des piliers de la French Touch est de retour avec un nouveau single intitulé Feel The Vibe !

 

Ce titre House est dans lignée des premiers tubes de Bob Sinclar sortis à la fin des années 90 tels que Gym Tonic ou My Only Love.

 

Sur Feel The Vibe, le Dj producteur est accompagné de Dawn Tallman.

 

Feel The Vibe a le potentiel pour bien marcher en discothèques cet été et pas seulement en France car le titre possède définitivement un son très New-Yorkais.

 

Un retour aux sources pour celui qui a multiplié les expériences dans des styles très variés avec plus ou moins de réussites.

 

Je dirais que ce single est un bon point pour Bob Sinclar qui suit son propre chemin et ne se contente pas de faire du commercial en suivant la mouvance du Boom Boom à outrance.