Mélissa MARS Tweet’n’roll

 

 

La délicieuse Melissa Mars est une droguée de Tweeter et elle l’assume complètement, à tel point qu’elle a traduit son addiction en mots et mis ces paroles en musique. Ainsi est né « Tweet n’roll« , un titre frais et entraînant bien ancré dans notre époque.

« Tweet n’roll » est extrait du quatrième album « Magnétique« , attendu avant la fin de l’année… On ne connait pas encore exactement son contenu. Deux titres ont déjà vu le jour « Et je veux danser » et « Week-End Love« , duo avec le belge Dogwalker. Ces trois premiers titres nous laissent présager de la direction musicale de cet opus.

Mais c’est Melissa Mars qui en parle encore le mieux : « « Et je veux danser » donne la direction de cet album. On s’oriente vers de l’électro-pop avec quelques touches soit de musique classique avec quelques passages lyriques, soit de rock avec ces petits clins d’œil à d’autres styles musicaux comme je le fais toujours, en restant dans la lignée électro. » [Propos receuillis par Jonathan HAMARD pour le site Pure Charts]

Le précédent album « A la Recherche de l’Amour Perdu » date déjà de 2007 et l’attente commence à se faire longue ! Il est vrai que le rôle d’Aloysia dans la comédie musicale « Mozart, l’Opéra Rock » l’a occupé un bon bout de temps. Ne reste qu’à s’armer d’un peu de patience…

« Tweet n’roll » est disponible en téléchargement sur Tweet n' Roll - Single - Melissa Mars

 

Florent Pagny vous dévoile son nouvel album

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Florent Pagny ne fera pas durer le suspens plus longtemps, oui, il revient en qualité de jury dans The Voice saison 2 sur TF1 mais en attendant de retrouver son fauteuil rouge, le chanteur prépare son retour musical avec, Baryton Gracias A La Vida, une suite à son album, Baryton.

 

Cette fois, Florent, est allé chercher ses chansons dans le répertoire latin. L’album sortira le 22 octobre 2012.

 

Afin de faire plaisir à ses fans, l’artiste a décidé de leur dévoiler un titre chaque soir sur son site, Ici

Robbie Williams au Grand Journal de Canal+ le 19 octobre 2012

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Robbie Williams sera bientôt de retour dans les bacs avec son nouvel album, Take the Crown, annoncé pour le 05 novembre 2012.

 

Alors que l’artiste a dévoilé un premier extrait, Candy, qui est accompagné d’un clip, il annonce sa venue Au Grand Journal de Canal+ le 19 octobre prochain.

 

Robbie viendra chanter son nouveau single, Candy, et  peut-être un autre inédit voire deux.

 

Les dates de la tournée mondiale commencent à être dévoilées au compte goutte sur le site officiel de Robbie.

 

Le retour de Nolwenn Leroy avec de nouvelles chansons est imminent!

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Nolwenn Leroy a surpris tout le monde avec son dernier opus, Bretonne ainsi que sa réédition quelques mois plus tard, Bretonne 2.0. La jeune femme a ainsi vendu plus de 800.000 exemplaires. Un succès étonnant mais mérité. Il fallait oser prendre ce risque et Nolwenn a eu raison de le faire.

 

Alors que l’album tente sa chance à l’international, un Bretonne 2 aurait pu être envisagé afin de surfer sur le succès mais l’artiste en a décidé autrement et là encore c’est tout à son honneur. Alors qu’elle vient d’inaugurer son double (peu ressemblant) au Musée Grévin à Paris, la star française prépare déjà son retour et il s’annonce imminent.

 

Nolwenn Leroy aurait déjà commencé à enregistrer de nouvelles chansons à Londres avec le producteur Jon Kelly, déjà producteur de Bretonne. Sur ce nouvel album, dont le premier extrait devrait débarquer sur les ondes très rapidement, Nolwenn chantera des titres inédits en français, en anglais et en breton…

 

L’album est attendu avant la fin 2012.

 

Elle poursuit sa tournée et se produira en décembre 2012 à l’Olympia.

 

Muse détonne avec « 2nd Law »

MUSE compte parmi les plus grands groupes de rock alternatif actuels. En ce début octobre, le groupe propose son sixième album : THE 2ND LAW. Et un nouvel album de MUSE est toujours un événement.

 

Enregistré entre Londres et Los Angeles, ce sixième opus se démarque des précédents. Le trio a puisé dans diverses inspirations : des années 80 aux groupes tels Justice ou Skrillex mais aussi dans la paternité du leader Matthew Bellamy ainsi que dans le dernier courant à la mode qu’est le dubstep (= mutation du speed-garage et du 2-step, bref un terme fourre-tout de distorsion musicale qui englobe un grande variété de courants musicaux spécifiques et dont la définition demeure assez vague). De manière globale, l’album se veut plus intimiste, plus personnel ; il est plus calme et apaisé que les précédents, probablement dû à la paternité du leader. D’ailleurs, on entend les battements de cœur du bébé aux balbutiements du titre « Follow Me » – battements enregistrés au moyen d’un téléphone portable.

Chaque album de MUSE est une expérience auditive étrange et bizarre, une aventure un peu chaotique tant leur musique, située quelque part entre rock progressif et orchestre symphonique avec des intrusions d’électro et de classique, me déboussole. Ici un orchestre à cordes, un accordéon, une trompette et des percussions indiennes complètent le tableau. Une richesse pour certains, un capharnaüm pour d’autres. L’un des morceaux est qualifié par son leader himself d' »odyssée rap-jazz gangsta chrétien alliant le flamenco et la musique de cowboy psychédélique« . Ne serait-ce pas un peu beaucoup trop pour une seule et même chanson ?

 

 Dans la continuité d’un enseignement magistral, le groupe se penche sur la deuxième loi de la thermodynamique ou principe de Carnot qui introduit le principe d’entropie. (Ça rappelle des souvenirs à certains sur les bancs de la fac ? Pour plus d’infos, replongez-vous dans vos cours !). La thématique est concrètement abordée dans les 2 derniers titres de l’album : « Unsustainable » (non renouvelable in french) traite de l’énergie gaspillée par l’Homme, sujet cher aux membres. Une voix robotique assène tel un professeur des écoles les bases de l’entropie. « Isolated System » propose un dernier thème musical conceptuel qui s’achève sur une voix féminine qui répète en boucle système isolé.

 

 « Survival« , titre rock sans surprise avec chœurs et guitare électrique, a été choisi comme hymne des J.O. de Londres. Il a généré une amère polémique partageant et les fans et le public si bien que le titre a vite disparu des charts. Quant au reste de l’album, si vous n’appréciez pas MUSE, je ne développerais pas plus longtemps. Aventuriers des voyages  sonores de l’extrême et de l’étrange, risquez-vous-y. Sachez juste que Matthew Bellamy ne pose sa voix que sur 8 titres au total, deux sont interprétés par le bassiste Christopher Wolstenholme, les autres sont musicaux.

 

Arrêtons-nous aussi sur la pochette très originale et créative de l’album. Le groupe nous avait déjà proposé une intéressante pochette pour l’album Resistance. Non il ne s’agit pas de la vision artistique d’un peintre fou sous l’emprise de substances illicites. L’image a été générée par le Human Connectome Project et représente l’ensemble de connexions neuronales du cerveau représentés sous forme de fils de couleurs et la manière dont nous traitons l’information à partir de ces couleurs.

 

Conclusion : MUSE propose un album inclassable, déconcertant et inégal. En tout cas, force est de constater que MUSE est capable de se renouveler à chaque fois et sait encore surprendre. On aime ou on déteste. Dominic Howard, le batteur, a déclaré de manière provoc’ : « Si on déteste, c’est cool. Au moins, ça provoque quelque chose. »