Les annonces de sorties de nouveaux albums pour cette fin d’année n’en finissent plus ! Rarement nos bacs auront été autant remplis pour les fêtes…Et coté français nous ne sommes pas en reste.
« Ô filles de l’eau », le nouvel album de Nolwenn Leroy sortira le 26 novembre !
Nolwenn signe une partie des textes de cet album de compositions originales qui nous plongent dans l’univers poétique et mystérieux de la mer.
L’album a été enregistré et produit à Londres par Jon Kelly à qui l’on doit l’album « Bretonne », un album écoulé à ce jour à plus de 800 000exemplaires !
On sait que l’album comportera des titres enregistrés en français, en anglais, en breton et en gaélique, dans « l’ambiance et avec les musiciens de « Bretonne » .
La photographie de couverture de l’album « Ô filles de l’eau » est une œuvre de la photographe Australienne Vee Speers, dans la lignée de sa célèbre série « Immortal ».
Le premier single sera envoyé aux radios ce jeudi 18 octobre.
Onze ans après le flamboyant « Rock Steady« , No Doubt revient sur le devant de la scène musicale avec « Push And Shove » (Se pousser et se bousculer in french). Le groupe s’était reformé déjà depuis 2009 et cet album est le fruit d’un accouchement laborieux puisqu’il aura pris 3 longues années de travail !
Après cinq albums et des titres devenus presque des classiques (« No Speak« , « Just A Girl » ou « All My Life« ), après deux albums solos de Gwen Stefani et des mégas hits comme « Sweet Escape« , « Rich Girl » et « What You Waiting For » encore dans toutes les têtes et toujours diffusés en radios, la bande de Californie dévoile 11 nouveaux titres.
Certes, la galette tient ses promesses : No Doubt n’a incontestablement pas changé. Cet album s’inscrit dans la même veine pop-rock, reggae, ska, et dancehall, que ce à quoi les précédents opus nous avaient habitué. Quoi qu’avec un côté plus mélancolique et moins festif…
Les trois premiers titres mis en avant « Push And Shove« , « Settle Down » et « Looking Hot » sont inégaux mais indubitablement les meilleurs choix de l’album. En fait, aucun titre ne se démarque en particulier et n’a une puissance tubesque. Certains critiques louent « One More Summer » et « Stand and Deliver » (présent sur la version deluxe), mouais… pourquoi pas !
En somme, du bon et pur No Doubt qui semble être resté bloqué à la fin des 90’s. Nous verrons si cet album marquera les esprits…
Derrière Owl City se cache – non pas un groupe ! – mais un seul homme : Adam Young. Il explose fin 2009/début 2010 avec le méga hit « Fireflies« . Suivront deux albums plutôt discrets – d’aucuns qualifieront d’échec – à ranger dans la catégorie… indie.
Pour The Midssumer Station, son quatrième album, Adam Young a travaillé avec d’autres auteurs-compositeurs et d’autres producteurs dont Stargate (producteurs norvégiens qui ont bossé avec Rihanna, Shakira, Beyoncé, Katy Perry et une floppée d’autres). Cela confère un son dance légèrement différent mais toujours aussi identifiable. Le hibou (owl en anglais) se tourne à présent vers une voie plus commerciale – terme non péjoratif, je précise. Et la sauce (re-)prend : ce nouvel opus propose des titres adaptés aux radios et est plus accessible à un public généraliste.
Porté par « Good Times« , duo estival festif avec la canadienne Carly Rae Jepsen, la galette se compose de 11 titres electro-pop, baignés de mélodies ensoleillées up-tempo. Tous les titres s’enchaînent avec facilité pour le plus grand plaisir de l’auditeur. Le premier « Dreams and Disasters » frappe fort et ouvre les portes de la discothèque façonnée par Owl City. « Shooting Star » est un hymne énergique et explosif signé Stargate, à la croisée entre un « Firework » de Katy Perry et le meilleur de David Guetta. « Gold » confirme tout le talent d’Adam Young et ce n’est que le troisième titre de l’album…
Les must : « Dementia » (en duo avec Mark Hoppus du groupe Blink 182), « Speed Of Love » qui est calibré pour vous faire remuer et « Silhouette » qui abandonne les synthétiseurs et laisse place au piano-voix.
Prenons aussi une minute pour nous pencher sur la pochette de cet album : là où d’habitude trônerait en gros plan le portrait du chanteur, celle-ci offre un imaginaire onirique totalement à l’opposé du système commercial.
Donc pour tous les aficionados de ‘sique électro, cet album indispensable trouvera parfaitement sa place dans votre CDthèque et/ou dans votre baladeur numérique. A acheter d’urgence.
Je vous épargne le trop entendu « Good Times » et vous propose d’écouter « Dementia » :