La chanteuse Anastacia marque son grand retour avec un nouvel album, It’s A Man’s World, qui sortira le 09 novembre prochain pour le label BMG.
Ce disque n’est pas un album composé de titres inédits mais de reprises dont l’originalité est que toutes les chansons ont été chantées par des hommes.
Un album-concept qui va devoir trouver sa place dans les charts et ce n’est pas gagné. Sachez cependant si vous êtes fan de l’artiste qu’un nouvel album est en préparation. Anastacia travaille sur ses deux projets avec le producteur Glen Ballard.
Sans surprise, c’est le 4e opus des aventures de Resident Evil avec Milla Jovovitch qui a pris la tête du box-office ce week-end. Avec des chiffres plutôt bons : 21 millions de dollars récoltés en 3 jours.
Le film est suivi par la ressortie en 3D du Monde de Némo, qui rassemble plus de 17 millions de dollars. Pour le reste, les films qui étaient à l’affiche pour la 2e semaine ou plus n’ont pas réalisé de bonnes performances, aucun ne dépassant les 6 millions de dollars cumulés en 3 jours.
A noter, la sortie limitée sur 5 écrans du nouveau film de Paul Thomas Anderson, The Master, avec Phillip Seymour Hoffman, Amy Adams, et Joaquin Phoenix, qui a cumulé 730.000 dollars, soit une incroyable moyenne de près de 150.000 dollars par salles, 20 fois plus que le leader Resident Evil.
Ce qu’il y a de bien avec un nouvel album de Mika, c’est que l’on est rarement déçu. Et là encore, c’est prouvé.
Quelle belle surprise. 14 Titres qui ont le mérite de ne pas laisser indifférent et qui nous poussent irrémédiablement à se dire… »bon une autre écoute. » En tout cas, c’est l’effet que nous a fait cet album.
L’album commence avec le titre qui donne son nom à l’album « The Origin Of Love ». Un titre assez punchy porté par un pont en latin absolument hallucinant (à 2min15). Les choeurs portent le titre jusqu’à son sommet. L’écoute démarre plutôt bien. Suit « Lola » un titre plus mid tempo aux sonorités plus légères. Vient ensuite « Stardust » qui sent le tube à plein nez. Produit par Benny Benassi (et cela s’entend) le titre démarre fort et plus les secondes passent plus la magie opère. Le morceau prend plus d’ampleur jusqu’à l’euphorie électro. Non, vous ne rêvez pas, vous êtes déjà en train de bouger la tête et de taper du pied.
Place à « Make you happy », entre voix vocodée et ballade électro. Une petite douceur pour se remettre. « Underwater » renforce cet état magique que l’on développe peu à peu. Une ballade piano voix mettant en avant la voix du chanteur : entre voix suave et grave et puissance dans les aigues. Un must pour les fans de Mika.
Reprise de l’électro avec « Overrated », un titre plus destructuré faisant la part belle une fois encore à la voix si particulière de Mika. On adore.
6 titres déjà et c’est un presque sans faute.
« Kids » prend la suite, sans réellement nous convaincre, un titre mid tempo à la mélodie certes accrocheuse mais moins efficace que ce qui précédait. Suivent « Love you when I’m drunk » (un titre up tempo bien senti, à redécouvrir en live, ce devrait être un vrai succés.), « Step with me » et « Popular Song » (où Mika s’essaye au r&n’b) et « Emily » version anglophone de « Elle me dit ». Un must. Le titre prend un véritable coup de boost en anglais.
« Heroes » : l’un de nos coup de coeur… Mika monte dans les aigues, le titre est planant. Une parfaite maitrise.
L’album (dans sa version simple) se clot avec « Celebrate » et « Elle me dit » que vous connaissez tous.
N’hésitez pas à vous procurer la version deluxe. En effet, on y retrouve quelques titres bonus et il serait bien dommage d’y passer à coté. Nous pensons à « Karen » (un titre français) que Mika nous avait confié avoir écrit suite à une rencontre dans un bar , 82 rue des Martyrs à Paris, un lieu que Mika affectionne particulièrement et où vous pourrez l’y croiser peut-être..Le morceau est véritablement accrocheur croyez nous. Autre mention spéciale dans ce second disque : « L’amour dans le mauvais temps ». Nous en sommes encore subjugués d’émotion. Un guitare/voix d’une rare intensité. Mika nous apporte dans un registre plus personnel et ce n’est pas pour nous déplaire. Les textes de ses titres en français apportent une vraie plus value à ce disque.
On en ressort avec ce large sourire aux oreilles et cette envie de crier « encore »…
Un trés bon album écrit et composé par la crème de la crème : William Orbit, Nick Littlemore (Empire of the sun), Benny Benassi, Pharel Williams…, enregistré entre les USA, Londres, le Canada, la France. Un album plus mature et moins coloré et sucré que ses prédecesseurs, mais ce n’est pas pour nous déplaire !
Elle nous a souvent habitué, dans ses premiers succés en tout cas, à des clips absolument superbes et le mini film que vous allez découvrir ici ne déroge pas à la règle.
Voici donc le clip publicitaire (de 5 minutes tout d’même) de son parfum « Fame » sorti il y a quelques jours.
Un parfum original sur la forme (liquide noir qui devient transparent une fois vaporisé) mais semble t il décevant sur le fond ( mélange de larmes de belladone, coeur broyé d’orchidée tigre, voile noir d’encens, essences de safran et de miel, abricot écrasé). Nous sommes honnêtes, impossible de confirmer ou non, nous n’avons pas vérifié.
Le spot publicitaire en revanche est, une fois n’est pas coutume, visuellement épatant. Un esthétisme à couper le souffle, une ambiance sombre ..du pur Steven Klein/Gaga.
Fans des années 80, ce film est pour vous. Réalisé par Thomas Langmann à qui on doit Astérix aux Jeux Olympiques ou le plus récent, The Artist, l’homme a eu envie de relever un nouveau défi et mettre à l’honneur les artistes des années 80. Ceux-ci jouent leurs propres rôles mais arrivent aussi à ne pas se prendre au sérieux et à se moquer d’eux-mêmes dans Stars 80.
Deux passionnés de musique, au fond du trou, joués par Richard Anconina et Patrick Timsit, décident de remettre les has-been des années 80 au goût du jour et vont en faire les nouvelles vedettes du 21e siècle, grâce la nostalgie qui entoure ces années-là.
Le film sort le 24 octobre et vous pourrez retrouver autour des deux acteurs Jeanne Mas, Début de Soirée, Jean-Luc Lahaye, Lio, Jean-Pierre Mader, Peter et Sloane, François Feldman et bien d’autres encore…