Cela fait des mois que l’on nous parle de ce nouveau phénomène outre atlantique. Issue d’une série de romans écrits par Suzanne Collins, le premier volet de cette trilogie fait un carton partout dans le monde.
Impossible donc d’ignorer cette sortie et de pas nous faire notre propre avis.
Et bien vous avons été absolument EPATE par la qualité de cette nouvelle saga. Nous ne connaissions pas les romans dont sont adaptés ces longs métrages mais là le premier volet nous a franchement emballé. Le scénario est bourré de rebondissements souvent bien amenés et rarement incohérents et le tout est une vraie réussite. Les acteurs principaux ET secondaires apportent une vraie plus value au film par un jeu toujours juste et sans faille. La réalisation, la mise en scène et l’ambiance générale tiennent vraiment la route. La BO sert vachement le film aussi. Du bon, trés bon cru pour un film dit « pour ados ».
Le film est intelligent, bien mené, fin, sans grosse surenchère mièvre. Le concept même du jeu – le synopsis donc, suffit à donner l’eau à la bouche : « Chaque année dans les ruines de ce qu’était jadis l’Amérique du Nord, le Capitole, l’impitoyable capitale de la nation de Panem, oblige chacun de ses douze districts à envoyer un garçon et une fille – les « Tributs » – concourir aux Hunger Games. A la fois sanction contre la population pour s’être rebellée et stratégie d’intimidation de la part du gouvernement, les Hunger Games sont un événement télévisé national au cours duquel les tributs doivent s’affronter jusqu’à la mort. L’unique survivant est déclaré vainqueur.
La jeune Katniss, 16 ans, se porte volontaire pour prendre la place de sa jeune sœur dans la compétition. Elle se retrouve face à des adversaires surentraînés qui se sont préparés toute leur vie. Elle a pour seuls atouts son instinct et un mentor, Haymitch Abernathy, qui gagna les Hunger Games il y a des années mais n’est plus désormais qu’une épave alcoolique. Pour espérer pouvoir revenir un jour chez elle, Katniss va devoir, une fois dans l’arène, faire des choix impossibles entre la survie et son humanité, entre la vie et l’amour… »
Note : 16/20.
Vivement la (les) suites. 2013 et 2014.