Aristote, Nietzsche et maintenant Buffy? La blonde héroïne de « Buffy contre les vampires » et d’autres oeuvres du créateur de la série culte, Joss Whedon, sont au coeur d’une conférence de trois jours organisée à l’université Henderson, dans l’Arkansas.
Depuis qu’elle a pris fin après sept saisons, cette série télévisée américaine devenue culte a suscité de nombreux livres philosophiques sur le rôle de l’amitié et du féminisme, qui pourraient remplir une étagère de cinq mètres de large à l’université d’Arkadelphia, souligne Kevin Durand, professeur de philosophie dans l’établissement. « Comme je dis souvent à mes étudiants: il ne s’agit pas tant de trouver toutes les questions que de vouloir poser de meilleures questions. C’est, je pense, ce que fait ‘Buffy' », explique-t-il. Peut-être que ce professeur est fan de la série?
Selon M. Durand, plus de 90 articles universitaires seront débattus durant la conférence qui s’est ouverte vendredi et devrait réunir 150 personnes. Parmi les essais présentés: « Buffy et le féminisme », « Buffy et l’identité », « Les stéréotypes de genre et l’image de la domesticité dans ‘Firefly' », une autre série télévisée de Joss Whedon, qui n’a pas connu le succès mérité, ou encore « Le voyage du héros, le retour de l’héroïne: Buffy, Eurydice et le mythe d’Orphée ».
Deux précédentes conférences ont déjà été organisées sur Buffy. Selon M. Durand la tueuse de vampires, incarnée à l’écran par Sarah Michelle Gellar, puise une grande partie de sa force des autres et de sa volonté de travailler avec des amis dans son combat contre les créatures de la nuit.
Aristote, Nietzsche et maintenant Buffy? La blonde héroïne de « Buffy contre les vampires » et d’autres oeuvres du créateur de la série culte, Joss Whedon, sont au coeur d’une conférence de trois jours organisée à l’université Henderson, dans l’Arkansas.
Depuis qu’elle a pris fin après sept saisons, cette série télévisée américaine devenue culte a suscité de nombreux livres philosophiques sur le rôle de l’amitié et du féminisme, qui pourraient remplir une étagère de cinq mètres de large à l’université d’Arkadelphia, souligne Kevin Durand, professeur de philosophie dans l’établissement. « Comme je dis souvent à mes étudiants: il ne s’agit pas tant de trouver toutes les questions que de vouloir poser de meilleures questions. C’est, je pense, ce que fait ‘Buffy' », explique-t-il. Peut-être que ce professeur est fan de la série?
Selon M. Durand, plus de 90 articles universitaires seront débattus durant la conférence qui s’est ouverte vendredi et devrait réunir 150 personnes. Parmi les essais présentés: « Buffy et le féminisme », « Buffy et l’identité », « Les stéréotypes de genre et l’image de la domesticité dans ‘Firefly' », une autre série télévisée de Joss Whedon, qui n’a pas connu le succès mérité, ou encore « Le voyage du héros, le retour de l’héroïne: Buffy, Eurydice et le mythe d’Orphée ».
Deux précédentes conférences ont déjà été organisées sur Buffy. Selon M. Durand la tueuse de vampires, incarnée à l’écran par Sarah Michelle Gellar, puise une grande partie de sa force des autres et de sa volonté de travailler avec des amis dans son combat contre les créatures de la nuit.
Aucune vedette de la série n’est attendue durant la conférence ni le producteur.